A l’âge de 11 ans, j’ai découvert la Viole d’Amour grâce à Pierre-Henri Xuereb, qui me l’a enseignée par la suite parallèlement à l’alto. Traditionnellement, bien qu’encore rarement, la viole d’amour est jouée par des altistes, et dans une sorte de transmission par symbiose (l’alto se dit viola en italien, viole d’amour = viola d’amore) puisqu’aucun conservatoire en France ne l’enseigne !

Paradoxe : la viole d’amour, associée traditionnellement à la musique ancienne – après avoir “disparue” au XIXe siècle –, s’avère être un instrument à l’histoire et au potentiel très contemporains !